Pour ce drame de Mike Figgis (remake d'une version datant de 1951), Mark Isham souvent habitué aux notes jazzy ou aux synthés planants, utilise cette fois le London Metropolitan Orchestra et ne tombe pas dans le travers " j'en mets des caisses pour émouvoir la populasse".
Non, Isham la joue simple, sans trop d'orchestrations. Il livre un album qui s'écoute doucement, aux mélodies tranquilles qui cependant annoncent inévitablement un grand moment.
Ce grand moment, il arrive au dernier morçeau de l'album ("The Browning Version") et l'on pige que le compositeur nous gardait une dernière cartouche qui fatalement fait mouche et nous touche en plein coeur.
Album épuisé/Out of Stock
Libellés : Mark Isham
posted by smithee @ 23:15
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